Pour sa première exposition après réouverture, le musée Carnavalet – Histoire de Paris s’associe avec la Fondation Henri Cartier‑Bresson pour offrir un regard croisé sur Eugène Atget et Henri Cartier‑Bresson, deux des plus grands photographes français du XXe siècle.
Après quatre années de travaux de restauration, le musée Carnavalet – Histoire de Paris rouvre ses portes. D’importants travaux de restauration ont été réalisés et l’expérience de visite a été renouvelée, afin d’en faire un lieu incontournable du paysage culturel Parisien. Une architecture magnifiée, de nouveaux espaces et des oeuvres restaurées, pour redonner vie au musée et proposer au public un confort de visite.
Une visite virtuelle pour petits et grands du musée Carnavalet à Paris, grâce à la plateforme Muséosphère des musées de la ville de Paris. Le musée Carnavalet, consacré à l’histoire de Paris et de ses habitants, conserve des collections qui illustrent l’évolution de la ville de la Préhistoire à nos jours. Il présente un vaste choix d’oeuvres d’art, souvenirs et maquettes montrant l’aspect de la capitale à diverses époques et évoquant sa vie quotidienne et intellectuelle. Les magnifiques décors historiques reconstitués composent un cadre évocateur pour une promenade au fil des siècles, source d’enrichissement et de plaisir.
Principal théâtre politique de l’épopée napoléonienne, Paris fut aussi une des préoccupations majeures du premier consul puis de l’empereur. Le propos de cette exposition est d’illustrer les rapports complexes entretenus par Napoléon Bonaparte avec la capitale.
Le 25 août 1944, Paris est libéré par la 2e Division blindée du général Leclerc et les Alliés. Deux mois et demi après, alors que la France et les Alliés se battent encore contre les nazis, le musée Carnavalet écrit déjà l’histoire en ouvrant le 11 novembre 1944 une exposition sur la Libération. En effet, dès septembre, François Boucher, conservateur du musée Carnavalet et résistant, souhaite « réunir les documents indispensables à l’historien de l’avenir ». Il lance alors un appel dans la presse afin de « constituer une documentation très complète sur les journées de la libération de Paris » et sollicite de nombreuses institutions. Cette exposition, réalisée sur le vif et portée davantage sur l’émotion que sur la véracité historique, rencontre alors un véritable succès populaire.
Imaginez-vous pousser la porte de l’une des plus grandes maisons de haute couture parisiennes au début du siècle dernier… Alice Alleaume, première vendeuse de 1912 à 1923 chez Chéruit, 21, place Vendôme, vous reçoit et vous propose de réaliser vos rêves les plus fabuleux…Ainsi, le musée Carnavalet présente une exposition hors les murs du Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris, Roman d’une garde-robe, le chic d’une parisienne de la Belle Epoque aux années 30.