Une exposition à la fois artistique et éducative qui présente de véritables corps et organes humains. Destinée à tous, cette exposition va littéralement « sous la peau », et révèle les mystères de l’anatomie de l’homme.
Une exposition à ne pas manquer pour tous les accros aux séries télé comme “NCIS enquêtes spéciales” ou “New York, section criminelle”…
La cité des sciences vous invite à poursuivre une enquête criminelle !
Le directeur du muséum a été retrouvé mort dans son bureau. Crim’expo plonge le visiteur dans l’univers de la police scientifique. En endossant le rôle d’un enquêteur criminel, le visiteur se familiarise peu à peu avec les techniques les plus récentes de la science criminalistique.
Cette exposition revisite l’oeuvre de Jackson Pollock selon un angle inattendu. Soutenue par un ensemble exceptionnel de toiles et d’objets, cette relecture place l’inspiration du maître de l’expressionnisme abstrait sous le sceau du chamanisme amérindien. La fascination éprouvée par Pollock pour l’art amérindien et ses rituels, ainsi que leur influence sur son travail n’ont jamais été véritablement étudiées.
Le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris consacre une exposition rétrospective à Giorgio de Chirico (1888 – 1978), artiste majeur du XXe siècle dont l’oeuvre n’a pas été présentée à Paris depuis plus de vingt-cinq ans. Cent soixante-dix peintures, sculptures, oeuvres graphiques et une sélection d’archives retracent le parcours singulier de l’artiste actif de 1909 à 1975.
Cette exposition se propose de jeter un regard neuf sur les rapports entre la France et l’Egypte au XIXe siècle, notamment à la suite de l’expédition de Bonaparte en Egypte entre 1798 et 1801. Ce point de départ historique sera l’occasion d’avoir un regard croisé sur les échanges artistiques. Les limites chronologiques ont été fixées à la période 1770-1870, avec un glissement jusqu’à la fin du XIXe siècle pour quelques représentations de la campagne d’Egypte par des artistes français.
L’exposition présente la mode du Second Empire. Robes, coiffures, bijoux, accessoires accompagnés de peintures, d’estampes et de photographies… plus de 300 pièces projettent le visiteur au temps où la silhouette féminine est toute en courbes, à l’image des modèles de Ingres.