Que se passe-t-il durant la nuit, dans le ciel et dans la nature ? C’est à cette question que l’exposition Nuit répond en mobilisant des savoirs scientifiques pluridisciplinaires : astronomie, biologie, ethologie, physiologie, anthropologie, neurologie.
La Cité des sciences et de l’industrie de Paris lance une exposition d’envergure, à la croisée entre art, science et technologie. Une vingtaine d’œuvres dynamiques et spectaculaires, dont la plupart sont inédites pour le public français, prennent place durant neuf mois sur un espace de 1 600 m². Par ailleurs, deux créations majestueuses investissent le hall et la passerelle centrale de la Cité des sciences : Animaris Adulari, l’une des imposantes créatures de plage de Theo Jansen, et Totemobile de Chico MacMurtrie/ARW qui, sous l’apparence initiale de la mythique Citroën DS, dévoile une œuvre monumentale de 18 m de haut.
La cité des sciences nous fait découvrir dans l’univers de la voix entre art, sciences et technologie. La voix est un instrument familier et mal connu qui fascine et passionne beaucoup. Tous les jours, nous mesurons à quel point elle nous est utile pour communiquer avec les autres.
Polluer ne prend qu’une seconde, se débarrasser des déchets peut prendre des centaines d’années. Eau de Paris, en partenariat avec Surfrider Foundation Europe et Young et Rubicam Paris, présente l’exposition « 10 ans de publicité pour sauver les océans ».
La Cité des Sciences et de l’Industrie vous invite à découvrir les dernières innovations et les grands enjeux des recherches actuelles en matière de textile : véritable panorama des textiles de demain et de leurs multiples domaines d’application (sport, transport, habillement, santé, design, installations artistiques et même architecture et environnement), l’exposition Futurotextiles vous invite à un voyage artistique, ludique et poétique à travers le thème de l’ultra légèreté, où se croisent fibres insolites, tissus révolutionnaires et réalisations des plus grands créateurs contemporains.
La Fondation EDF propose de montrer l’unité et la diversité des « mondes électriques » dans lesquels nous vivons. L’exposition se concentre sur les discours tenus sur l’électricité, sur les rêves qu’elle a engendrés, qui sont à la limite de l’utopie. Ce n’est donc pas une exposition sur ses applications, mais sur la diversité des regards.