Le musée de la Vie romantique s’associe au Cooper-Hewitt, National Design Museum de New York pour présenter sa remarquable collection de quelque quatre vingt Vues d’intérieurs du XIXe s européen, réunies par le célèbre collectionneur Eugene V. Thaw qui les lui a offertes en 2007.
A travers des œuvres majeures, l’exposition explore les rapports que les artistes, souvent les plus grands peintres et sculpteurs, entretiennent avec les animaux. Elle montre que le lien entre art et science, entre notre soif de connaissance de l’animal et notre fascination pour sa beauté, continue d’être étroit. Peintures, dessins, sculptures, photographies, célèbres ou insolites…
En écho au 50e anniversaire des Accords d’Evian qui permirent à l’Algérie d’accéder à son indépendance, cette exposition, réalisé avec le concours de Casteman, reviendra sur plus de 130 ans de présence militaire française en Algérie, de la conquête à l’indépendance. La démarche du musée de l’Armée est clairement historique et son approche pédagogique. Il invite le grand public à mieux comprendre une histoire longue marquée par des relations complexes, dont il apparaît aujourd’hui nécessaire de saisir les différents facteurs et aspects, notamment en l’abordant dans sa totalité, sans réduire l’approche à la seule période de la Guerre d’Algérie (de 1954 à 1962).
Proposant un parcours à travers la peinture orientaliste, l’exposition se penche sur la représentation du Juif comme « oriental » dans l’art, de 1832 à 1929. La route vers l’Orient qu’empruntent les artistes au début du XIXe siècle leur donne l’occasion de découvrir les communautés juives des rives méditerranéennes. Cette rencontre inattendue offre un visage pittoresque à cet Orient souvent rêvé avant d’être visité.
L’exposition Histoires de voir, Show and Tell fait découvrir les œuvres et raconte les histoires de plus de 50 artistes du monde entier, peintres, sculpteurs, dessinateurs et cinéastes. Ils sont brésiliens, indiens, congolais mais aussi haïtiens, mexicains, européens, japonais, américains. Ils vivent à Paris ou Port-au-Prince, à Tokyo ou dans les faubourgs de Mexico City, en Amazonie ou dans les campagnes non loin de Mumbai. Ils se sont découverts artistes et ont appris à voir dans des circonstances et des contextes singuliers ; souvent considérés comme « naïfs » ils ont rarement été invités à présenter leurs œuvres dans des institutions dédiées à l’art contemporain.
Le château de Versailles présente Louis François Lejeune (1775 – 1848) tout à la fois soldat, espion, peintre, diplomate à ses heures, est un cas unique dans l’histoire de son temps : militaire, il participe à toutes les guerres de la Révolution et de l’Empire, avant d’atteindre le grade de général de brigade. Mais cela ne lui suffit pas : au fur et à mesure des combats, il représente les principales batailles dans une douzaine de peintures, puis décrit longuement les campagnes napoléoniennes dans ses Souvenirs.